StreetPress s’est procuré plusieurs centaines de pages d’extraits de comptes des sociétés et assos gérées par Alain Soral et son bras droit Julien Limes. Enquête sur un petit business de la haine.
Un mois avant le changement de régime, le groupe français a livré trois radars à Kaboul. StreetPress a enquêté sur ce contrat de 110 millions d’euros qui n’a pas été officiellement annulé et dont les talibans profitent pour monter une « fake news ».
Dans un monde où prospèrent fake news et versions alternatives, le journalisme « neutre » n’a plus de valeur. Je suis journaliste, et je pense que l’objectivité, c’est fini. Au contraire, devenons moins honteux, plus bruts et honnêtes avec nous-mêmes.