« Pour nous, ce procès à la même valeur que celui de Maurice Papon », lâche Renata Molina, dans un entretien à StreetPress. Pour la présidente de l’Association France – Amérique Latine, une des parties civiles au procès, « on veut savoir ce qu’il s’est passé il y a 37 ans ».
« Les 4 Franco-chiliens disparus appartenaient soit au parti socialiste du Chili, soit au MIR)#Le_MIR_sous_la_dictature », ajoute Renata Molina. « Il est important que la justice se fasse vite : Sur les 19 accusés, 5 sont morts dont le général Pinochet et Paul Schäfer, ancien de la Wermacht et fondateur Colonia Dignidad ».
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