En ce moment

    16/11/2016

    Article sponsorisé par le ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports

    Dans quels pays la bière est-elle la moins chère ?

    Par StreetPress

    Dans quels pays les étudiants payent-ils leurs bières le moins cher? StreetPress a comparé le prix de la pinte dans les bars étudiants de 30 destinations fréquentées par les jeunes Français. En tête des bons plans : Prague et Johannesburg.

    Le prix de la bière est une donnée-clé pour choisir sa destination. Que ce soit pour un séjour de quelques semaines ou d’un an. Dans le cadre d’un volontariat, d’une mission professionnelle ou d’un échange universitaire, impossible de choisir sa destination sans connaître le prix de la pinte de bière. Bien sur, ce n’est pas le seul facteur mais si tu veux faire plus fort qu’Antoine de Maximy et son émission « J’irai dormir chez vous » et rencontrer des locaux, rien ne vaut un bistrot plein de jeunes.

    Streetpress s’est penché sérieusement sur la question et a réalisé la carte du prix de la bière dans le monde en privilégiant les bars étudiants. Notre unité de mesure : la pinte ! C’est en Europe de l’Est que la pinte est la moins chère. La République Tchèque, la Pologne ou l’Allemagne sont des destinations idéales. Reine dans cette région, la bière est très bon marché. Au contraire, les prix grimpent au Nord du continent : une mousse peut s’élever à 8 € dans un bar de quartier à Reykjavik. Même constat dans certains pays d’Asie. À Hong-Kong ou à Tokyo, une simple bière au comptoir peut vous coûter un bras.

    carte-prix-biere-1.jpg

    Cliquez sur la carte pour l’afficher en grand

    Si tu veux être certain de payer ta pinte au prix indiqué sur la carte, retrouve ici l’adresse de nos bars de référence fréquentés par les étudiants.

    L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. À consommer avec modération.

    Le jour où j’ai joué à Antoine de Maximy

    Panglao Island, petit îlot paradisiaque niché au cœur des Philippines. On approche de la fin de l’été. Slavina et Yannick veulent découvrir une dernière chose : le goût de la fête locale. Et ça commence forcément dans un bar. Après quelques bières à environ 2 € accompagnées de verres de rhum, voici notre couple en train de danser sans s’arrêter, incitant les Philippins à veiller avec eux jusqu’au bout de la nuit. Mais très vite il est 2h30. Fermeture du bar, direction le karaoké d’à côté. « En temps normal nous n’y serions jamais allés », souffle Yannick en rigolant :

    « Mais là c’était l’endroit parfait, on a chanté toute la nuit sur des morceaux qu’ils avaient composés eux-mêmes à partir de sons de Gameboy, je crois qu’on a surtout fait rire les Philippins en fait. »

    Alors que Slavina rentre à l’hôtel trop fatiguée, Yannick n’est pas rassasié. « Après environ 5 minutes de marche, je vois un mec dans son jardin, je lui fais un signe de la main ». La conversation rapidement enclenchée, l’inconnu finit par l’inviter chez lui et lui prépare le petit-déjeuner. Avant de terminer sa soirée ou sa journée, on ne sait plus, Yannick lance :

    « Pour finir je suis allé à la périphérie de la ville chez des paysans qui ne parlaient même pas anglais, on a joué au basket jusqu’à l’épuisement total. »

    logosministeres.jpg

    Pour continuer le combat contre l’extrême droite, on a besoin de vous

    Face au péril, nous nous sommes levés. Entre le soir de la dissolution et le second tour des législatives, StreetPress a publié plus de 60 enquêtes. Nos révélations ont été reprises par la quasi-totalité des médias français et notre travail cité dans plusieurs grands journaux étrangers. Nous avons aussi été à l’initiative des deux grands rassemblements contre l’extrême droite, réunissant plus de 90.000 personnes sur la place de la République.

    StreetPress, parce qu'il est rigoureux dans son travail et sur de ses valeurs, est un média utile. D’autres batailles nous attendent. Car le 7 juillet n’a pas été une victoire, simplement un sursis. Marine Le Pen et ses 142 députés préparent déjà le coup d’après. Nous aussi nous devons construire l’avenir.

    Nous avons besoin de renforcer StreetPress et garantir son indépendance. Faites aujourd’hui un don mensuel, même modeste. Grâce à ces dons récurrents, nous pouvons nous projeter. C’est la condition pour avoir un impact démultiplié dans les mois à venir.

    Ni l’adversité, ni les menaces ne nous feront reculer. Nous avons besoin de votre soutien pour avancer, anticiper, et nous préparer aux batailles à venir.

    Je fais un don mensuel à StreetPress  
    mode payements

    NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
    ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER