« On a ton adresse IP, l’adresse où tu loges frelon. T’étonne pas si ta petite tête de fragile est défigurée dans la semaine. Bonne soirée. »
Voici l’un des messages reçus par Mégane sur les réseaux sociaux.
Marsault, auteur de BD publié par les Éditions Ring et très apprécié de l’extrême droite, lui reproche d’avoir fait supprimer son compte Facebook. Bon nombre de ses fans harcèlent la jeune féministe depuis le mois d’août dernier.
Elle raconte à Streetvox comment elle vit avec ce cyberharcèlement, sans pour autant accepter de disparaitre des réseaux sociaux.
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