En ce moment

    17/06/2010

    France / Mexique: l'avant-match vu du bar

    GOOOAAAL !

    Par StreetPress

    Parce qu'un Mondial ça se regarde dans un troquet, un Pastis à la main et des cacahuètes dans la bouche, José et Adama font l'avant-match à l'Ariel un bar-PMU de Menilmontant. Sacco et Rémi N'Gono n'ont qu'à bien se tenir.

    L’Arène:

    Notre média est accessibles à toutes et tous

    StreetPress produit un journalisme rigoureux, factuel et populaire grâce au soutien de ses lectrices et lecteurs. Engagez-vous avec nous, faites un don et faites vivre un média indépendant !

    L’Ariel, rue de Menilmontant: Temps ensoillé en terrasse – 1 serveur + le patron – Pas de possibilité de restauration – 1 écran plasma + un backroom pour les paris PMU
    Affluence: 17 hommes – des parieurs – O femmes
    Coté biture: Café 20% – Cerveza 60% – Pastaga 20%
    Chips où cahuètes?: Les deux !
    Le détail kitsch du bar: Une horloge Joker des années 1980’s
    Entendu au comptoir pendant Portugal – Côte d’Ivoire:
    « - Mais pête lui les jambes ! Vas-y !! »

    L’avant-match vu du bar par Slate et StreetPress

    Vous allez subir Pascal Praud, Eugène Saccomano et Christian Jean-Pierre pendant la Coupe du Monde. Pourtant la dernière fois qu’ils ont touché un ballon c’était l’été 1984, un peu comme les habitués de l’Ariel, un bar-PMU de la rue Menilmontant. Alors StreetPress et Slate leur donnent aussi la parole pendant toute la Coupe Monde, car pour animer un talk-show il suffit d’un peu de Pastis et de quelques cacahuètes.

    *Voir aussi: France / Uruguay: l’avant-match vu du bar








    En partenariat avec Slate

    Source: Robin D’angelo, Jacques Torrance et Marine Pom Pom | StreetPress en partenariat avec Slate

    Et après la lecture de cet article, une petite question pour vous, lectrices et lecteurs

    Est-ce que vous vous sentez sereines et sereins dans un monde où une majorité des médias appartient à une poignée de milliardaires aux intérêts pas toujours raccords avec l'intérêt général ?

    Nous non plus. C'est pour ça qu'on s'acharne, chez StreetPress, à produire un journalisme accessible à toutes et tous, en toute indépendance. Parce que nous pensons qu'une information libre, éclairée et éclairante est indispensable.

    Parce que parler des êtres humains se fait à hauteur d'humain. Parce que le journalisme, même engagé, se doit d'être rigoureux et factuel.

    Si ce combat est aussi le vôtre, vous pouvez agir et faire bouger les lignes en nous soutenant. Faites un don, même tout petit, si possible mensuel, et nous en ferons des enquêtes et des reportages qui comptent.