Absynthe Minded, le groupe belge de super stars que nous avions déjà rencontré il y a quelques mois , a enfin sorti son album en France. Pour fêter ça, ils ont donné un concert le 18 juin à la Maroquinerie. Nous n’allions pas rater une si bonne occasion de voir ce qu’ils valent sur scène.
Les dieux du rock veillent sur Absynthe Minded
A peine un pied dans la salle, on comprend déjà l’ampleur du phénomène. On avait vu les affiches pour le concert partout dans le métro, mais on ne s’attendait pas à voir la Maroquinerie si bondée. C’est donc collées les uns contre les autres qu’on écoute les cinq Belges. D’abord tranquillement, Absynthe Minded apprivoise son public. La foule ondule légèrement.
La salle: La Maroquinerie, Paris 20eme
Fréquentation: Salle bondée
Je bois: un verre de blanc
L’after-show: un verre sur la terrasse de la Maroquinerie avec quelques photographes et le « baby-sitter » du groupe
Les dieux du rock veillent sur le groupe. La température monte. Le public se laisse séduire par l’allure de Bert, le chanteur, grand, blond et maigre. Il semble lui aussi se laisser gagner par la musique. A chaque nouveau morceau, on comprend un peu mieux ce qu’on fait là.
Et puis il y a Renaud, sorte de musicien génial, qui joue sur son violon comme s’il jouait sur une guitare électrique. A genoux sur la scène, il nous offre du show, du grand show. Ça fait une heure que le groupe joue et on n’a aucune envie que ça s’arrête là. Eux non plus visiblement.
Le groupe a dorénavant ses groupies
On reconnaît le tube et/ou single d’un groupe à la lumière des appareils photos qui s’allument aux premières notes de la chanson. Les fans d’Absynthe Minded ne dérogent pas à la règle. Quand le groupe entonne Envoie, c’est la folie dans les premiers rangs exclusivement composés de filles.
Enfin, le rappel, puis une improvisation pas si improvisée, le groupe belge a conquis son public parisien. A la sortie, quelqu’un demande à un proche des musiciens : « C’est vrai que Bert boit une bouteille de vin avant d’entrée sur scène? » « Ça va pas non, il tiendrait pas debout. Juste un verre de rhum. »
*A lire aussi sur StreetPress: l’interview de Bert et Renaud d’Absynthe Minded
Source: Docteur Tolédano | StreetPress
Crédits photos: Micky “Mouse” Cuccagna | StreetPress
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