En ce moment

    13/12/2016

    "On me prend souvent pour un videur"

    5 questions stupides à Teki Latex sur la vie nocturne à Paris

    Par Robin D'Angelo

    Pendant des années, Teki Latex a ambiancé les soirées parisiennes avec son groupe TTC. Aujourd’hui, le MC au débit de canard sous hélium a monté le label Sound Pelligrino avec son pote Orgasmic. Ça valait bien une interview clubbing à Paris.

    Selon toi, un videur peut-il se faire recaler de soirée ?

    On me prend souvent pour un videur dans les clubs ce qui ne m’a pas empêché de me faire recaler du Pub St Germain parce que le physio avait pris mon corduroy Ralph Lauren avec des petits chiens brodés pour un bas de pyjama. Ainsi va la vie.

    Que risque-t-on en buvant un cocktail avec une paille fluorescente ?

    Les matières fluorescentes contiennent la plupart du temps des résidus toxiques qui peuvent entrainer l’empoisonnement.

    Si David Guetta vit à Ibiza et Jean Roch à Saint-Tropez, où se cache Bob Sinclar ?

    Selon internet il est actuellement résident au Cavalli club à Dubai et on peut en déduire qu’il partage son temps entre Ibiza et Dubai mais je ne suis ni détective privé ni intéressé par la vie de ce monsieur.

    Les open-bar sont interdits mais les buffets chinois à volonté, eux, sont toujours autorisés. Comment tu l’expliques ?

    L’Etat veut sans cesse contrôler la consommation d’alcool des gens et c’est un petit peu hypocrite. On ne peut plus se saouler gratuitement mais si l’Etat peut se sucrer un peu au passage sur les licences, ce n’est pas de refus. Quant aux buffets chinois à volonté ce sont des établissements que je ne fréquente pas.

    Où les vendeurs de roses font-ils pousser leurs fleurs ?

    C’est encore une fois en consultant internet que je suis tombé sur votre site StreetPress où j’ai appris que les vendeurs de roses achètent leurs fleurs au marché de Rungis. Elles poussent dans le Var, le Finistère et les Alpes Maritimes ainsi qu’aux Pays Bas. Drôle d’histoire.

    Pour continuer le combat contre l’extrême droite, on a besoin de vous

    Face au péril, nous nous sommes levés. Entre le soir de la dissolution et le second tour des législatives, StreetPress a publié plus de 60 enquêtes. Nos révélations ont été reprises par la quasi-totalité des médias français et notre travail cité dans plusieurs grands journaux étrangers. Nous avons aussi été à l’initiative des deux grands rassemblements contre l’extrême droite, réunissant plus de 90.000 personnes sur la place de la République.

    StreetPress, parce qu'il est rigoureux dans son travail et sur de ses valeurs, est un média utile. D’autres batailles nous attendent. Car le 7 juillet n’a pas été une victoire, simplement un sursis. Marine Le Pen et ses 142 députés préparent déjà le coup d’après. Nous aussi nous devons construire l’avenir.

    Nous avons besoin de renforcer StreetPress et garantir son indépendance. Faites aujourd’hui un don mensuel, même modeste. Grâce à ces dons récurrents, nous pouvons nous projeter. C’est la condition pour avoir un impact démultiplié dans les mois à venir.

    Ni l’adversité, ni les menaces ne nous feront reculer. Nous avons besoin de votre soutien pour avancer, anticiper, et nous préparer aux batailles à venir.

    Je fais un don mensuel à StreetPress  
    mode payements

    NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS,
    ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

    Streeguides

    Bars de nuit