L’album photos du concert :
Signés chez 4AD, vainqueurs du prestigieux Philip Hall Radar Award, décerné en 2009 par NME (magazine britannique considéré par beaucoup de fans de pop et de rock britannique comme la bible), The Big Pink fait la première partie de Muse dans les arènes anglaises en novembre de la même année.
20 heures, la salle crépite
Jeudi dernier, le groupe fait son retour à Paris. Les portes ouvrent à 19h30 et dès 20 heures, la salle crépite… On chante déjà le refrain de Domino, leur quatrième single et tube de leur album A brief History of Love, un disque rempli du romantisme décadent d’outre-Manche. Un romantisme exprimé par des guitares saturées d’effets et altérés par un chant éthéré (qui rappelle The Jesus and Mary Chain). Un album dédié entièrement à l’amour dans tous ses états.
Le concert se déroule avec quelques éclats d’émotions, des pauses pour des morceaux moins connus et moins marquants. Certains ont apprécié, d’autres pas trop (notamment les inutiles invités venus pour se montrer plutôt que pour écouter). A StreetPress, on a aimé et on verra si l’avenir du groupe sera à la hauteur de l’étiquette qu’on leur colle à la peau : « The next big thing ».
Source: Michela Cuccagna | StreetPress
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