Les Haïtiens ne viennent plus seulement en Guadeloupe pour des raisons économiques, mais pour fuir l’extrême violence imposée par les gangs. La France maintient les renvois d’Haïtiens, malgré les appels répétés de l’ONU et d’ONG.
Après l’organisme chargé de recueillir les demandes d’asile (Ofpra) et les tribunaux spécialisés (CNDA), les centres de rétention se mettent en grève pour contester la loi asile et immigration.