Selon un document que StreetPress s’est procuré, la « loi Silt » qui transpose dans le droit commun certaines mesures de l’État d’urgence va encore être renforcée au détriment des libertés publiques.
Dans l’attente d’un retour forcé au pays, de nombreuses familles sont assignées à résidence. StreetPress est allé à la rencontre de Naria, Hassan, obligés de pointer chaque jour au comico et Francisco qui lui a préféré entrer dans la clandestinité.