Après une année intense, StreetPress prend des vacances. On revient début septembre avec de nouveaux projets et une équipe renforcée. On vous en dit plus.

Enquête sur l’extrême droite ou les dérives de la police, documentaires sur les ultras dans le foot et récits de personnes qui ont été « envoyées au bled » par leurs parents. Le meilleur de StreetPress.

Entre la dissolution et le second tour des législatives, StreetPress a publié plus de 60 enquêtes. Depuis 15 ans, notre média multiplie les révélations sur l’extrême droite et ses arrière-cuisines nauséabondes. On a besoin de vous pour continuer.

StreetPress fait partie d’un projet baptisé Sphera, qui regroupe différents médias indépendants et organisations culturelles à travers l’Europe.

Le fondateur de StreetPress raconte pourquoi il s’est engagé comme journaliste contre l’extrême droite et contre l’antisémitisme. Aujourd’hui, il s’engage pour éviter Marine le Pen en 2027. Un récit personnel.

Dans la saison 2 de Rixes, Adama Camara, militant associatif et ancien détenu, reprend la route pour comprendre l'engrenage des rixes. Six nouveaux épisodes disponibles à partir du 3 mai sur StreetPress.

Fin janvier, StreetPress révélait les propos racistes proférés sur WhatsApp par une cheffe de service de La Banque Postale, à l’encontre de ses agents d’origine maghrébine. L’entreprise a enfin décidé de prendre des sanctions.

Comment on choisit nos sujets ? Comment on gagne des sous ? Sommes-nous vraiment indépendants ? Jo Weisz, le directeur de StreetPress et Mathieu Molard son rédacteur en chef, répondent sans langue de bois.

StreetPress, c’est 15 journalistes et vidéastes, 600.000 euros de budget par an, pour produire nos enquêtes, nos documentaires, nos contenus sur les réseaux sociaux et nos newsletters. Mais comment on finance ce média indépendant ?

Depuis plusieurs semaines, le parquet de Paris tente par tous les moyens d’identifier une source de StreetPress : convocation de la journaliste, réquisition judiciaire… StreetPress s'insurge contre cette atteinte grave à la liberté d’informer.