Vito Bendinelli, beatmaker de la saison 3 et 4 de l’émission rap « Nouvelle École », est visé par deux plaintes pour violences conjugales. Quatre ancien·nes conjoint·es témoignent et dénoncent un silence du milieu musical.

Malgré un débat national sur le contrôle de l’enseignement privé cette année, le réseau scolaire de la Fraternité Saint-Pie X n’est pas inquiété. StreetPress révèle des faits de violences et d’endoctrinement dans cinq de ces écoles entre 1995 et 2020.

Ce 4 novembre est jugé au tribunal de Toulouse un surveillant du centre pénitentiaire de Seysses, accusé d’avoir frappé plusieurs détenus, entre septembre 2024 et janvier 2025. Malgré plusieurs alertes, il est resté en poste jusqu’en mai.

Dans le commissariat parisien du 20e, un policier a photographié, partiellement nues, six femmes gardées à vue ou plaignantes, et en a agressé deux sexuellement, dont une mineure. Radié, il a été condamné à trois ans de prison, dont deux avec sursis.

Le 16 février 2025, 27 néonazis tabassent un syndicaliste antifasciste dans Paris, puis attaquent les serveurs d’un bar aux cris de « sale bougnoule ». Tous sont des militants expérimentés liés aux Hussards, groupe héritier du Gud. Enquête et vidéo.

Selon une enquête, 60% des femmes ont été victimes de harcèlement ou d’agression sexuelle en milieu festif. Mains baladeuses, baisers non-consentis, agresseurs violents, des femmes racontent leurs expériences des fosses de concert.

Depuis moins d’un an, le Parti national breton (PNB) tente de s’immiscer dans les événements culturels et politiques locaux, parfois à coup d’actions violentes. Le tout en ayant des ambitions électorales.

À contre-cœur, Inès, Bilal, Anissa, Sirine et Sarah préparent leur départ. Ces Français descendants d’immigrés ou binationaux n’imaginent pas vivre dans un pays gouverné par le Rassemblement national.

Dans la nuit du 13 au 14 juin 2024, un bar antifasciste à Rome a été violemment attaqué par trois militants français d’extrême droite. On y trouve un cadre d’un groupe néofasciste, très bien inséré dans la mouvance radicale française.

Quatre militants d’extrême droite sont jugés ce 12 juin au tribunal de Paris pour une agression homophobe. Ce sont tous des néofascistes du Gud, issus pour certains de familles militantes du RN.