Cet été, au Blanc-Mesnil, Khao, une jeune structure de catch, a organisé le premier show de catch dans une cité de France. Chambrage, rap français et ambiance survoltée : immersion dans cette structure qui change les codes du catch français.

Le 5 juin 2022, Rayana B. succombait à ses blessures après avoir reçu une balle dans la tête par un policier en plein Paris. Trois ans après les faits, l’annonce du non-lieu a eu l’effet d’une « gifle » pour ses proches.

Laura, 37 ans, a été victime d'une tentative de féminicide. Son ex-compagnon a été condamné à huit ans de prison. Elle raconte ses sept années de combat judiciaire, l'argent dépensé pour les avocats et tous les bouleversements qui ont suivi.

Le 13 novembre 2018, Tidiane est gravement blessé à la jambe après s’être fait renverser par une voiture. Il raconte ses 42 opérations et les soins quotidiens pour tenter de sauver sa jambe.

Près de 450 personnes dorment dans la rue en Seine-Saint-Denis. Aminata, une mère célibataire de 25 ans, porte la parole d’un collectif de femmes exilées en lutte pour le droit à l’hébergement.

Kélétigui Sylla, 25 ans, a construit sa vie en France : études, travail, proches. Arrivé il y a 10 ans, le Guinéen a dû affronter la rue et la prison avant d’être recueilli. Il a reçu une troisième obligation de quitter le territoire en mars dernier.

Voilà 50 ans que la franco-vietnamienne Tran To Nga se bat contre l’agent orange, herbicide utilisé comme arme durant la guerre du Vietnam. Son combat a mobilisé les générations de la diaspora vietnamienne, qui dénonce un « racisme environnemental ».

Entre la dissolution et le second tour des législatives, StreetPress a publié plus de 60 enquêtes. Depuis 15 ans, notre média multiplie les révélations sur l’extrême droite et ses arrière-cuisines nauséabondes. On a besoin de vous pour continuer.

StreetPress, aux côtés d’autres médias, s'engage dans le combat contre l’extrême droite. Dans cette tribune, nous appelons, par nos initiatives éditoriales, et sans renoncer à notre regard critique, à soutenir la mobilisation sociale en cours.

28 ans après la mort de son fils Jawad dans l'incendie de sa cellule, Salah Zaouiya s’est battu pour faire condamner l'État. Aujourd’hui de toutes les luttes, l'homme de 76 ans continue de guider les familles endeuillées.