Difficile de pas boire par interdit religieux ? « Pas du tout » répond Wael. Comme Amara et Racha, il sait être inventif pour ne pas s'ennuyer en soirée : «Avec un ami on a fait un concours : shot de tequila pour lui, shot de moutarde pour moi !»

Des reportages centrés sur notre consommation d'alcool pour vous raconter autre chose que le binge drinking et les comas éthyliques. De l'alcool en festival aux virulents remous dans votre estomac, StreetPress lève son verre à votre été.

Sur StreetPress, 4 Parisiens font le calcul de ce qu'ils dépensent en alcool. La palme revient, de loin, à David, qui dépense « 600€ d'alcool par mois » : « Je me mets dedans, je suis à découvert, mais je fais ce que je veux. »

Ah les festivals, les bières coupées à l'eau et le vin qui tape sur le crâne. Et bien sûr, impossible d'y faire entrer de l'alcool. Un drame que StreetPress t'aide à éviter. Techniques testées et approuvées à Solidays, le week-end dernie

Draguer, parler english, danser jusqu'à ce que le "gène de la pute" ressorte : autant de choses qui paraissent so easy quand on a 3 grammes sous chaque bras.

Qui dit cuite, dit potentiel mouvement d'humeur de ton estomac. Et, parfois, au mauvais endroit. Raconte nous où, quand et comment t'as vomi dans Paris après une grosse murge dont tu te souviens encore. Attention, carte à apprécier loin des re