Une employée d'un supermarché Lild de Madrid a découvert plusieurs tablettes de cocaïne, cachées entre les bananes de son rayon fruits et légumes. La police évoque maintenant plusieurs kilos de cocaïne égarés ainsi dans tous les Lild d'Europe.
Des bananes plantains importées d’Équateur et de Cote d’Ivoire
Notre média est accessibles à toutes et tousStreetPress produit un journalisme rigoureux, factuel et populaire grâce au soutien de ses lectrices et lecteurs. Engagez-vous avec nous, faites un don et faites vivre un média indépendant !
Je soutiens StreetPress Plutôt que de les revendre, ou même de les consommer, l’employée qui a découvert les tablettes de cocaïne, a directement prévenu la police espagnole. L’enquête a déterminé que la cargaison de bananes venait du marché central de Madrid, Mercamadrid. Importées d’Équateur et de Côte d’Ivoire, un gang de narcotrafiquants, aurait ajouté la drogue dans les containers à leur départ. Pour la passer en toute discrétion.
100 kilos de cocaïne déjà confisqués
Mais à leur arrivée en Europe, les containers illégaux auraient été confondus avec des containers normaux. Le trafiquants sont en possession de bananes plantains, tandis que Lidl à récupérer des kilos de cocaïne. Plus de 100 kilos, ont déjà été trouvés par la police dans plusieurs magasins de l’enseigne allemande, à travers toute l’Espagne.
La chasse au trésor est lancée
« L’opération ne fait que commencer » selon le porte parole de la police de Madrid. Les forces de l’ordre sont convaincues que plusieurs kilos de cocaïne « flottent » ainsi dans plusieurs magasins Lidl. On parle de centaines de tablettes repartie à travers toute l’Europe. Et d’autres chaïnes de supermarchés pourraient être concerné. Amis drogués ou dealer, la chasse au trésor est lancée.
Source:“El Pais”:http.www.elpais.es et StreetPress
Nous espérons que la lecture de cet article vous a intéressés et que vous en garderez quelque chose dans votre regard sur le monde
Toute l'équipe de StreetPress s'investit pour vous apporter un journalisme factuel et engagé, accessible à toutes et tous.
Ce travail a un coût : salaires des journalistes, frais de reportage, locaux, matériel... Et n'est rendu possible que par votre soutien. Vous pouvez faire connaître notre média à vos proches en partageant nos contenus sur les réseaux, ça nous aide beaucoup.
Vous pouvez aussi nous soutenir financièrement. Même un don de 1€ nous encourage et nous fortifie. Soutenez StreetPress en faisant un don, si possible mensuellement.