💌
 Nos newsletters ici
 Soutenez StreetPress

En ce moment

    01/05/2010

    Le groupe de folk expérimental britannique à Paname

    Photos: Tunng à la Maroquinerie

    Par Michela _Cuccagna

    Report photos du concert de Tunng à la Maroquinerie (Paris), vendredi 30 avril. Le groupe venait défendre son album, sorti début mars "… And Then We Saw Land". Une série de clichés de Michela Cuccagna pour StreetPress.

    Notre média est accessibles à toutes et tous

    StreetPress produit un journalisme rigoureux, factuel et populaire grâce au soutien de ses lectrices et lecteurs. Engagez-vous avec nous, faites un don et faites vivre un média indépendant !


    Retrouvez où se trouve StreetPress sur la première photo!

    A mi-chemin entre Cocoon et Badly Drawn Boy, Tunng a été accueilli avec beaucoup de ferveur à la Maroquinerie. Leur groupe voit le jour en 2003, quand deux musiciens (Sam Genders et Mike Lindsey) décident d’abandonner leur job de compositeurs de musique de films érotiques pour développer leurs vrais talents.

    Ils sortent un premier album “Mother’s daughter and other songs” en 2004. Leur goût pour des instruments atypiques, les pousse jusqu’à la folk expérimentale. Fermes dans leur
    volonté de faire de la musique, la formation s’ouvre à de nouveaux collaborateurs et avec Becky Jacobs, Martin Smith et Phil Winter l’équilibre semble être à point. Seul le départ, le retour et le départ d’un des deux fondateurs (Sam Genders) cassera cette apparente atmosphère de tranquillité.

    Les voix de Becky et Mike se concilient avec grâce. Repérés par le public français en 2008 avec leur limpide “Bullets”, hier soir c’était leur nouvel album “…and then we saw land” (mars 2010) que les Tunng étaient venus défendre.

    Source et Crédits Photos: Michela Cuccagna | StreetPress

    Et après la lecture de cet article, une petite question pour vous, lectrices et lecteurs

    Est-ce que vous vous sentez sereines et sereins dans un monde où une majorité des médias appartient à une poignée de milliardaires aux intérêts pas toujours raccords avec l'intérêt général ?

    Nous non plus. C'est pour ça qu'on s'acharne, chez StreetPress, à produire un journalisme accessible à toutes et tous, en toute indépendance. Parce que nous pensons qu'une information libre, éclairée et éclairante est indispensable.

    Parce que parler des êtres humains se fait à hauteur d'humain. Parce que le journalisme, même engagé, se doit d'être rigoureux et factuel.

    Si ce combat est aussi le vôtre, vous pouvez agir et faire bouger les lignes en nous soutenant. Faites un don, même tout petit, si possible mensuel, et nous en ferons des enquêtes et des reportages qui comptent.