Dans ce quatrième épisode de KOP, on vous raconte comment des ultras de Florence, réprimés par la police et les autorités italiennes, ont créé le premier club d’Italie autogéré par les supporters : le Centro storico lebowski.

En Italie, en Hongrie et jusqu’à très récemment en Pologne, des gouvernements d'extrême droite sont au pouvoir. Des journalistes locaux expliquent à StreetPress comment ils attaquent le droit à l’avortement, les minorités et la liberté d’expression.

Dans la nuit du 13 au 14 juin 2024, un bar antifasciste à Rome a été violemment attaqué par trois militants français d’extrême droite. On y trouve un cadre d’un groupe néofasciste, très bien inséré dans la mouvance radicale française.

« KOP » est la nouvelle série documentaire de StreetPress sur les supporters les plus radicaux d’Europe. Cinq épisodes disponibles à partir du 12 juin sur StreetPress.

En 2017, un militant d’aide aux exilés à la frontière italienne est percuté par une voiture de police. L’agent est renvoyé devant le tribunal, mais ne comparaîtra jamais.

Un homme d'affaires italien aux fréquentations douteuses et deux Algériens auraient extorqué plus de 300.000 euros à des étrangers en situation irrégulière en France. 15 victimes ont porté plainte.

Marwan est un « pur produit de Sarcelles ». Cristian lui, n'a jamais quitté Gratosoglio, un quartier populaire de Milan, en Italie. Portrait croisé de deux hommes qui ne se connaissent pas mais dont la vie en cité se ressemble.

À la frontière franco-italienne, les assos constatent un afflux de migrants. Elles demandent le soutien de l’État, qui préfère renforcer sa chasse aux exilés. Pour échapper à la police, ces derniers prennent de plus en plus de risques.

En septembre, le panafricaniste radical Kemi Seba était reçu par plusieurs cadres du M5S, parti au pouvoir en Italie. Quatre mois plus tard, Di Maio, un poids lourd du gouvernement, reprend publiquement ses thèses et déclenche des tensions diplomatiques.

Hassan, Tchadien, doit être expulsé le 20 mars, peu importe ses projets. Son parcours dépend du règlement Dublin III qui rejette la responsabilité des politiques migratoires sur les pays frontaliers de l'Europe, les premiers traversés par les exilés.