L’ensemble de ce (long) travail sur les conditions de vie des voyageurs a été financé par les lecteurs de StreetPress. Merci.
Stigmatisées partout ou presque, les communautés dites des « gens du voyage » sont parmi les plus discriminées. En France, pas un seul département ne dispose du nombre d’aires d’accueil imposé par la loi pour loger les voyageurs. Et celles existantes sont bien souvent indignes. Quatre médias indépendants ont décidé de se pencher sur le sujet. Voici notre travail :
À lire sur StreetPress :
- Mon voisin Lubrizol
- Aires d’accueil : comment la Seine-Maritime tente de masquer qu’elle est dans l’illégalité
- Leurs poumons, c’est du béton
- « Si tu ne trouves pas l’aire d’accueil, cherche la déchetterie »
À lire sur Rue89 Strasbourg :
- L’école et les gens du voyage, l’impossible rencontre
À lire sur Rue89 Lyon :
- « Il n’y a pas eu de prise en compte de la sédentarisation »
- Où sont les aires d’accueil dans le Rhône ?
À lire sur Marsactu :
- Pour accueillir les gens du voyage, la métropole marseillaise choisit une ancienne casse sous l’autoroute
- Entre L’autoroute et l’usine Seveso : Saint-Menet, seule aire d’accueil marseillaise
Face au péril, nous nous sommes levés. Entre le soir de la dissolution et le second tour des législatives, StreetPress a publié plus de 60 enquêtes. Nos révélations ont été reprises par la quasi-totalité des médias français et notre travail cité dans plusieurs grands journaux étrangers. Nous avons aussi été à l’initiative des deux grands rassemblements contre l’extrême droite, réunissant plus de 90.000 personnes sur la place de la République.
StreetPress, parce qu'il est rigoureux dans son travail et sur de ses valeurs, est un média utile. D’autres batailles nous attendent. Car le 7 juillet n’a pas été une victoire, simplement un sursis. Marine Le Pen et ses 142 députés préparent déjà le coup d’après. Nous aussi nous devons construire l’avenir.
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