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    01/02/2011

    Fermetures de comptes Facebook, Haïti et espérance de vie … Le Morning Refresher

    Par Leïla Yaker

    L'actu du 1 février 2010 pour ceux qui n'ont pas regardé iTélé ce matin.

    A retenir :

    Notre média est accessibles à toutes et tous

    StreetPress produit un journalisme rigoureux, factuel et populaire grâce au soutien de ses lectrices et lecteurs. Engagez-vous avec nous, faites un don et faites vivre un média indépendant !

    Économie: Le coût du baril de pétrole a franchit la barre des 100 dollars hier, et ce, en raison de la situation instable que connaît l’Egypte, carrefour essentiel dans la région. Pour plus de précisions c’est ici .

    A suivre :

    Haïti:Dans un communiqué, le gouvernement haïtien s’est dit prêt à autoriser le retour de l’ancien président déchu par un coup d’état en 2004, Jean-Bertrand Aristide. Ce dernier voudrait revenir pour développer « le domaine de l’éducation ». Pour plus de précisions c’est ici .

    Pour briller devant la machine à café :

    Facebook: “Un mec aux États-Unis porte plainte contre Facebook pour la fermeture sans préavis de son compte. Il réclame quand même 380.000 dollars ! Il aurait perdu tous ses amis… Pour se justifier il a vraiment ressorti tous les clichés de base : Facebook me permet de communiquer avec ma famille au Monténégro, tout ça c’est parce que je suis musulman. Je t’envoie le lien c’est d’un pathétique !“ 

    A zapper :

    Eunice Sanborn: La très vieille dame détenait le titre de doyenne du monde depuis la mort de la française Eugénie Blanchard en novembre dernier. Titre de courte duré, vu qu’elle s’est éteinte hier au Texas à l’âge de 115 ans. Pour plus de précisions sur la succession du titre c’est ici .

    Et après la lecture de cet article, une petite question pour vous, lectrices et lecteurs

    Est-ce que vous vous sentez sereines et sereins dans un monde où une majorité des médias appartient à une poignée de milliardaires aux intérêts pas toujours raccords avec l'intérêt général ?

    Nous non plus. C'est pour ça qu'on s'acharne, chez StreetPress, à produire un journalisme accessible à toutes et tous, en toute indépendance. Parce que nous pensons qu'une information libre, éclairée et éclairante est indispensable.

    Parce que parler des êtres humains se fait à hauteur d'humain. Parce que le journalisme, même engagé, se doit d'être rigoureux et factuel.

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