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    Utopia 56

    6 résultats

    16/10/2023

    Chaque soir, des mineures non accompagnées dorment dehors à Paris

    « Je m’appelle Awa, j’ai 16 ans et je suis à la rue »

    Awa, Aminata et Kadiatou ont vécu des maltraitances et des parcours d’immigration difficiles. Non prises en charge par l’aide sociale à l'enfance, qui n’a pas cru en leur minorité, elles sont à la rue.

    14/04/2023

    Kaba, Abdoulaye, Alpha, Killa ou Mohammed racontent leurs rêves et leurs souvenirs

    Près de 250 jeunes exilés dorment dans une école du 16e arrondissement

    Depuis le 4 avril, près de 250 jeunes hommes exilés, accompagnés par plusieurs associations, ont installé leurs duvets dans une école abandonnée du 16e arrondissement de Paris. Ils se rêvent chanteur de dancehall, pro du roller ou électricien.

    26/01/2023

    « La nuit, je ne dors pas. J’attends les policiers. »

    Yaya, Moussa et les autres mineurs isolés de Paris ne savent plus où dormir

    Depuis la mi-décembre, les adolescents à la rue sont régulièrement réveillés et chassés par les policiers. Ces derniers empêchent l’installation d’un campement dans Paris ou en périphérie, selon les consignes de la préfecture.

    29/07/2022

    Aucun accès à l’eau ni aux sanitaires

    70 mineurs isolés dorment sous un pont d’Ivry-sur-Seine

    Environ 70 mineurs isolés dorment sous un pont d’Ivry-sur-Seine depuis près de deux mois dans des conditions difficiles. Sans solution de logement, ils attendent de pouvoir justifier de leur minorité au tribunal dans l'espoir de ne plus être à la rue.

    24/09/2021

    « Je ne me lave plus. »

    30 migrants mineurs coincés dans un gymnase vétuste

    À Nogent-Sur-Marne, 30 migrants mineurs dorment sur des lits de camp installés dans un gymnase vétuste. Douches communes, toilettes en nombre insuffisant, promiscuité et bruit, leur quotidien est difficile.

    09/11/2017

    Brosses à dents, fringues de rechange et petits papiers

    Dans le sac à dos des réfugiés

    13 réfugiés déballent leurs petits baluchons devant l’objectif de notre journaliste. Qu’ils soient arrivés à Paris depuis 24 heures comme Moussa ou 7 mois comme Muhammad, ils n’ont presque rien : souvent un téléphone, deux ou trois papiers administratifs.