Bienvenue au Chinese Business Club, un cercle d’affaires très exclusif mais pas excluant. Au cours des déjeuners mensuels huppés où des entrepreneurs peaufinent leur réseau, bon nombre de figures du RN et du milieu identitaire y ont leurs habitudes.

StreetPress va prendre sa part dans la bataille culturelle contre l’extrême droite pour qu’à la fin, on gagne. On a un plan ambitieux : livre, formations, série documentaire, tournée… Soutenez-nous !

Depuis sa création en 1969, l’UNI a représenté les étudiants conservateurs jusqu’à être vassal du principal parti de la droite. Ses troupes vont désormais au RN et multiplient les actes de racisme et signes néonazis. Bruno Retailleau les soutient.

En juin ou en septembre, des militants du parti d’extrême droite Ukip ont agressé des personnes exilées près de Dunkerque. Ils entendent revenir régulièrement pour mener des actions de « chasse aux migrants illégaux ».

À chacune de ses éditions en France, le gala caritatif cofondé par le milliardaire d’extrême droite, Pierre-Édouard Stérin, bénéficie du soutien de tissus économiques locaux, parfois représentés par des antennes de très grandes entreprises. Enquête.

Le 1er octobre, à Angers, a eu lieu la Nuit du Bien commun, gala caritatif longtemps porté par le milliardaire d’extrême droite, Pierre-Edouard Stérin. Parmi les lauréats, deux associations liées aux radicaux. Une contre-manifestation était organisée.

Jusqu’ici plutôt épargnée par les violences attribuées à l’extrême droite, la ville de Brest connaît une escalade de violences, attribuées à un même groupuscule, en roue libre depuis quelques mois. Trois plaintes ont été déposées.

Dans ce nouvel épisode de FACTS, on vous présente notre carte inédite des communes qui pourraient basculer à l’extrême droite. À six mois des élections municipales 2026, StreetPress et ses partenaires dévoilent le plan du RN pour conquérir les mairies.

Streetpress publie une cartographie des communes que l’extrême pourrait gagner aux prochaines élections municipales. Zoom sur dix villes qui ont de gros risques de basculer en 2026.

Alors que l’extrême droite radicale a vécu comme un traumatisme son expulsion du mouvement des Gilets jaunes, ils ont été peu visibles lors du 10 septembre. À Paris, Némésis a fait un de leurs habituels happenings. À Lyon, des lycéens ont été attaqués.