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Une première dans le secteur, à notre connaissance. « Ça ouvre la porte à l’ubérisation de toute une branche », s’inquiétait Sylvie Vachoux, sécretaire fédérale de la CGT commerces et services. « C’est une pratique exceptionnelle, dans un contexte exceptionnel », assure François Alarcon de Franprix :
« Nous avons du renforcer l’ensemble de nos équipes dans un délais très bref pour assurer notre mission. Mais maintenant que nous avons pu nous réorganiser, nous allons arrêter de faire appel à des auto-entrepreneurs. »
C’est par SMS quelques minutes plus tard que le directeur Stratégie & Innovation de Franprix « confirme zéro auto-entrepreneurs [à partir de] la semaine prochaine ». L’enseigne promet d’être attentive aux candidatures de ceux qui ont collaboré sous le statut d’auto-entrepreneur :
« On a l’habitude de proposer des CDD, des CDI ou des contrats étudiants à ceux qui ont pu venir sur un renfort ponctuel. »
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Photo d’illustration issue de Wikimedia Commons