Iyas est suivi par 75.000 abonnés sur TikTok. Son truc ? Partager les bonnes adresses de restos algériens de Paris, comme conseiller les étudiants étrangers sur leurs droits. Une façon de leur éviter les pièges par lesquels il a pu passer.

Du 14 au 20 décembre 2023, six hommes vont comparaître devant la justice pour traite d’êtres humains, trafic de stupéfiants et recel de vols. Ils sont accusés d’avoir contraint douze enfants à voler contre des drogues entre 2021 et 2022.

Une mamie qui traite sa petite fille de « bougnoule », un père qui appelle ses enfants vietnamiens « les niakoués » : plusieurs jeunes parlent du racisme qu’ils ont subi dans leur famille, et racontent l’empreinte de ces remarques sur leur identité.

Un homme d'affaires italien aux fréquentations douteuses et deux Algériens auraient extorqué plus de 300.000 euros à des étrangers en situation irrégulière en France. 15 victimes ont porté plainte.

Le RN joue la carte de la dédiabolisation, sans pour autant renoncer à ses fondamentaux. La défense de l’Algérie française est l’un d’eux. De Perpignan à Toulon, on choie les nostalgiques des colonies.

La même compagnie de bateaux qui a accueilli des réfugiés ukrainiens à Marseille sert désormais à expulser des sans-papiers de l’autre côté de la Méditerranée. C’est ce que révèlent les témoignages de plusieurs employés de la compagnie Corsica Linea.

Darmanin rêve d’expulser des milliers de sans-papiers algériens. Sauf que l’Algérie refuse le moindre retour, explique un document interne. Mais ça n'empêche pas le ministère de l’Intérieur d’enfermer ces sans-papiers plusieurs semaines. Pour rien.

73 personnes verbalisées, c’est le joli score réalisé par les policiers de Charleville-Mézières, un soir de victoire de l’Algérie. Pour certains supporters les amendes dépassent les 700 euros.

C’est une rencontre imprévue. Ce dimanche, Algériens et Soudanais manifestaient à Paris pour soutenir les révoltes en cours dans leurs pays respectifs. Le hasard a placé les deux cortèges au même endroit. Ils ont décidé de mélanger leurs slogans.

Mes grands-parents, rapatriés d’Algérie, se sont installés à Roubaix en 1963. 55 ans plus tard, l’essentiel de ma famille vit encore dans le Nord, mais l’histoire de ceux qu’on appelle de manière péjorative « harkis » s’efface.