Créée dans les Monts d’Arrée, en Bretagne, la troupe des Joyaux de l’Arrée propose un « drag rural et local » à un public de non-initiés, tranchant avec les codes esthétiques de l’émission « Drag Race ».

Depuis qu’il a révélé son engagement à l’extrême droite, l’ex-candidat de télé-réalité a rencontré Marine Le Pen et se rapproche de militants homonationalistes. Sans que sa carrière de chanteur ou sa médiatisation n’en souffrent, bien au contraire.

Contre l’avis de l’ensemble des structures inscrites à la Marche des fiertés de Paris, le groupuscule homonationaliste, connu pour ses obsessions transphobes et xénophobes, veut organiser une « contre manif » ce samedi 28 juin.

Pitbull, star kitsch des années 2010, n’est pas à la retraite : avec ses millions de streams, Mr Worldwide a rempli l’Accor Hotel Arena de Paris en quelques secondes. À l’occasion de ce concert le 23 février, les fans racontent la folie Pitbull.

Pour pallier le manque de lieux communautaires dans leur villes, mais aussi par précarité, des lesbiennes sont prêtes à enchaîner les kilomètres en bus pour un date amoureux. Sur X, leur histoire d’amour avec la compagnie Flixbus est même devenue un meme.

La scène hardcore punk voit fleurir des collectifs et des groupes féministes déterminés à sortir la contre-culture de ses codes masculinistes.

À Rennes, historiquement encartée à gauche, la percée de l’extrême droite en France déteint sur le quotidien des minorités depuis plusieurs mois. Dans ce berceau de la culture queer, la communauté LGBTQIA+ souffre d’agressions récurrentes.

À 35 ans, et huit ans de carrière drag au compteur, Ghost Elektra raccroche les talons pour se consacrer à la production d’événements. Son parcours raconte l’évolution d’une culture, avec son lot de combats et de galères.

Malgré une histoire et des engagements homophobes, l’extrême droite tente de récupérer les votes gay et lesbiens en jouant sur la peur de l’insécurité et des thèses racistes. Un nouveau groupuscule se monte.

La petite ville rurale a vu les drapeaux arc-en-ciel fleurir samedi 1er juin. Une initiative lycéenne inédite qui s’inscrit dans un contexte breton marqué par les attaques de l’extrême droite sur la communauté.